| Ce plan de protection contre la violence extrême a une portée interne : il est destiné à l’organisation et à ses employés. | Dans cette contribution, j’écris ma propre opinion, et non celle d’une quelconque organisation. |
L’auteur : Manu Steens
Contenu
Objectif
Ce document tente de résumer un ensemble de lignes directrices sur lesquelles vous pouvez générer une approche BCP en la mettant en œuvre. Il s’agit donc à la fois d’une vision du PCA pour la terreur, la violence extrême et l’alerte à la bombe, et d’une liste de mesures que vous pouvez inclure et développer dans un PCA.
Définition
La violence extrême est un acte de violence qui rappelle un acte de terreur. Ce faisant, nous déplaçons temporairement la question sur ce qu’est le terrorisme.
Le code judiciaire définit le terrorisme comme l’utilisation de la violence contre des personnes ou des intérêts matériels pour des raisons idéologiques, religieuses ou politiques dans le but d’atteindre ses objectifs par la terreur, l’intimidation ou les menaces. Cette définition figure également dans la loi régissant les services de renseignement et de sécurité.
Parmi les actions possibles des terroristes figurent l’incendie criminel, l’explosion de plates-formes, le détournement de moyens de transport, la libération de matières dangereuses, la perturbation de l’approvisionnement en eau et en électricité, les menaces, l’enlèvement et la prise en otage de personnel, …
Étant donné que ces actes peuvent être commis non seulement par des terroristes, mais aussi par des membres de la mafia ou de gangs, des personnes perturbées ou des malades mentaux, nous préférons parler de « protection contre la violence extrême » dans le présent document.
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