170 écueils pour la GRE en Europe

Inspiré du livre « Enterprise Risk Management in Europe », édité par Marco Maffeic

De quoi s’agit-il? Il s’agit de la mise en œuvre de la GRE dans les organisations en Europe. Cela s’accompagne d’un certain nombre d’obstacles. Il y a donc des écueils dans la mise en œuvre de la GRE en Europe.

La définition pratique de la gestion des risques qui est utilisée est la suivante :

« La gestion des risques consiste des processus actifs et intrusifs qui :

  • Sont capables de remettre en question les hypothèses existantes sur le monde à l’intérieur et à l’extérieur de l’organisation ;
  • Communiquer les informations sur les risques à l’aide d’outils distincts (tels que des cartes de risques, des tests de résistance et des scénarios) ;
  • Combler collectivement les lacunes dans le contrôle des risques que d’autres fonctions de contrôle (telles que l’audit interne et d’autres contrôles aux limites) laissent sans réponse ; et ce faisant
  • Complétez – mais ne remplacez pas – les pratiques de contrôle de gestion existantes.

Ce livre en fait une étude. Chacun des 13 premiers chapitres traite de la situation dans un pays. Vient ensuite deux chapitres de réflexion sur tous les pays. Les pays concernés sont : la France, l’Allemagne, la Grèce, l’Italie, la Lituanie, les Pays-Bas, la Norvège, la Pologne, le Portugal, l’Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni.

Enfin, dans un certain nombre de hiérarchies, un résumé est donné de manière académique.

Mais ce qui me semble vraiment important, ce sont les leçons identifiées à partir desquelles un aperçu se dégage de ce qui peut être la cause d’un dysfonctionnement de la GRE.

Les leçons identifiées qui expliquent pourquoi la GRE peut mal tourner sont répertoriées dans la feuille Excel jointe. Cela peut être utilisé comme une sorte de liste d’attention pour l’expansion (ultérieure) de la GRE.

Manu Steens

Manu travaille au sein du Gouvernement flamand dans la gestion des risques et la gestion de la continuité des activités. Sur ce site Web, il partage ses propres opinions sur ces domaines et sur des domaines connexes. Depuis 2012, il travaille au Centre de crise du Gouvernement flamand (CCVO), où il a progressé en BCM, gestion des risques et gestion de crise. Depuis août 2021, il est travailleur du savoir pour le CCVO. Depuis janvier 2024, il travaille au Département de la Chancellerie et des Affaires étrangères du Gouvernement flamand. Il combine ici BCM, gestion des risques et gestion de crise pour créer une forme de gestion de la résilience sur mesure répondant aux besoins du gouvernement flamand.

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